Joël Dachelet
Je suis né le 24 juillet 1969, à Dinant. Ainé d’une famille de 5 enfants d’une maman indépendante, et un papa ouvrier. En couple et père d’un adolescent, je suis toujours à la recherche d’un emploi. J’aimerais enfin pouvoir m’épanouir, dans ce que j’aime faire.
Notamment en devenant animateur professionnel ou régisseur en multimédia. J’aimerais également essayer de faire du cinéma, et plus particulièrement dans des séries ou téléfilms. Même un petit rôle. Au départ, je n’étais pas prédestiné à la chanson. Même si par le passé, certaines de mes activités, tournaient autour de la musique et du spectacle.
Mes premières amours musicales, étaient plutôt tournées vers l’animation. C’est à l’âge de 13-14 ans, avec peu de moyens et beaucoup de motivation que je suis devenu disc-jockey indépendant. Je peux vous dire, que cela marchait du tonnerre, mais rien à voir avec le disc-jockey de nos jours. Á l’époque, il fallait parler dans le micro, pour faire monter l’ambiance. Bref, il fallait vraiment animer. C’est également à cette période, que j’ai fait l’expérience du théâtre, et excusez du peu, des pièces en wallon. J’ai ainsi interprété le rôle du soldat Louis, dans l’opérette : TARATATA, ma toute première expérience où il fallait chanter en public. C’est alors que, fin des années 80, début des années 90, en plein boum de la libération de la bande FM, quand de multiples petites radios locales voyaient le jour, que je suis devenu animateur sur Radio Navy Ciney. Passant de la technique à l’animation, et de l’animation à la technique. Cette même radio, avait également sa sono, la sono Navy, où là aussi, j’étais disc-jockey. Je suis d’ailleurs à la recherche d’archives, de photos de cette radio et sono. Si j’étais devenu disc-jockey, c’est grâce à mon papa, qui l’était lui-même, et comme on dit dans le métier, j’avais repris ses papiers.
Comment suis-je passé de l’animation à l’interprétation ? C’est tout à fait par hasard, que je suis venu rejoindre le monde des chanteurs, compositeurs et musiciens. Lors de la formation « Si C’est Art Faire », organisée par le « Miroir Vagabond », dans le cadre du développement personnel et de la confiance en soi, j’ai découvert la musique, et depuis l’écriture des textes, en passant par la composition de la musique, l’enregistrement en studio, jusqu’à l’interprétation devant un petit public. Cette expérience m’a donné énormément de courage, de confiance en moi, et surtout l’envie d’en faire ma nouvelle passion. Dans un premier temps, je me suis mis à composer mes tous premiers textes dont la « Lettre à mon fils ». Après quelques essais d’interprétation de variété française, je me suis dirigé, vers le Foyer des jeunes de Havelange, afin de participer à des ateliers « chant », pour pouvoir travailler la justesse, le rythme et la respiration. Une aide m’a été apportée par Muriel D’ailleurs, une artiste complète et de talent, qui m’a permis d’évoluer et d’arriver là où j’en suis aujourd’hui. Grâce à elle, j’ai pu développer le talent qui venait de naître en moi. La musique, m’a permis de sortir du trou dans lequel j’étais tombé. C’est en 2020, que j’ai participé pour la première fois à un concours de Karaoké et suite à cette expérience et poussé par une amie, je me suis inscrit ai concours The Voice Belgique avec la reprise de Nino Ferrer « Le Sud ». Une interprétation personnelle forte appréciée par de nombreuses personnes.